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Sur le marché de la perte de poids, un nouveau médicament a débarqué et fait fureur sur les réseaux sociaux : les analogues du GLP-1. Mais les médecins tirent la sonnette d’alarme, ces molécules ne sont pas une baguette magique, elles nécessitent un encadrement multidisciplinaire.

Des enfants atteint d’une maladie rare mortelle peuvent être sauvés par des médicaments parmi les plus chers du monde. Plus de 2 millions pour une injection. Mais seuls les bébés dont l’assurance paye et ceux dont les parents trouvent l’argent pourront survivre. Les autres mourront.

Une relation particulière nous lie à nos soignants : la relation thérapeutique. Une relation qui peut être soutenante ou délétère et qui a un impact dans les traitements. Qu’est-ce qu’une bonne relation thérapeutique ? Quel est le rôle de l’empathie dans les soins et les traitements ?

Comment soigner les malades emprisonnés ? Notre reporter est entrée à la prison de la Chaux-de-Fonds pour filmer en immersion le travail de la médecine pénitentiaire.

De la naissance à la mort, la seule chose qui ne change pas, c’est notre ADN. Que peut prédire notre patrimoine génétique ? Que peut-on espérer d’une médecine plus personnalisée grâce aux avancées technologiques ?

Les ruptures de stock touchent de plus en plus de spécialités pharmaceutiques et durent de plus en plus longtemps. La situation ne fait que se dégrader. Si la plupart du temps des alternatives peuvent être trouvées, c’est au prix d’énormes efforts, particulièrement des pharmaciens.

Se laver les mains cent fois, passer dix heures par jour à nettoyer son appartement, vérifier à l’infini que la porte de son appartement est fermée ou que l’on n’a pas provoqué un accident dans la rue, les TOCs ou Troubles obsessionnels compulsifs rendent la vie de ceux qui en souffrent et de leur entourage insupportable. De nouvelles thérapies intensives pourraient-elles aider les patients à sortir de cet enfer ?

Pour traiter dépression, troubles anxieux ou hyperactivité, la recherche mise aujourd’hui sur le microbiote. Seul problème pour créer des traitements : chacun a un microbiote unique !